VERTU INTERIEURE (Haití 1908)
J’arrive ici comment hier, simplement;et au milieu des champsj’abandonne mon corpssur l’herbe facile. Ni voix qu’interrompent la secrètecommunion de la vie;ni livres imposantsni excès de mots. Doux ciel automnal sur les vallées;l’eau limpide, le gazon, l’ineffable simplicité des choses;et moi, sans ligatures,cherchant le cap certainà l’ombre de Dieu qui me soutient. Et l’émotion que me donneront […]
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