LE CŒUR DÉBORDANT (1908)
Je ramène l’âme, ivre d’arômes des rosierset du tremblement étrange que laissent les chemins…A la lumière de la lune les vaches maternellesdirigent derrière moi l’ombre des ses yeux opalines. Elles passent avec simplicité vers le sommet,ruminant simplement l’herbe de la palissade;ou bien sous les arbres avec claire docilités’endorment au murmure de l’aire inébranlable. Et dans […]
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